Après un accueil à l’hôtel, Mme le Maire a pris la parole pour dénoncer ce projet d’implantation d’une prison aux Temps Durables. Les sénateurs Laurent Lafon et Catherine Procaccia, le député Luc Carvounas, le maire de Créteil et président de Grand Paris Sud Est Avenir Laurent Cathala ont témoigné de leur "soutien inconditionnel au maire de Limiel-Brévannes et ont dénoncé "l’absence de concertation, la brutalité de cette décision".
Dans le cadre de la réforme judiciaire, la parcelle dénommée « Ballastière Nord » est pressentie par l’Etat pour une construire une prison semi-ouverte.
Un site qui doit accueillir d’une part le téléphérique urbain Câble A Téléval mais aussi une zone d’activité économique, avec près de 3 000 emplois à la clé.
« Avec toute mon équipe municipale, je refuse que l’installation d’une prison semi-ouverte sacrifie les deux projets ambitieux pour la ville qui font l’unanimité : le téléphérique urbain Câble A Téléval et la zone d’activité économique et les 3 000 emplois attendus » a indiqué Mme le Maire.
Derrière la banderole porté par les élus, le cortège s’est ensuite rendu aux Temps Durables sur le terrain pressenti par l’Etat pour accueillir la prison semi-ouverte, où 300 drapeaux ont été plantés symboliquement.
"Continuons à nous mobiliser jusqu’à ce que l’Etat abandonne définitivement ce projet" a conclu le maire Françoise Lecoufle.
Comme près de 7000 signataires, vous pouvez signer également la pétition contre l’implantation d’une prison ouverte à Limeil-Brévannes sur le site de la ville (www.limeil-brevannes.fr)
