Mme le Maire avait saisi le préfet du Val-de-Marne à plusieurs reprises à cet effet. Bien qu’installé à Valenton, le campement sauvage générait des nuisances notamment en terme de salubrité publique derrière le cimetière.
La police municipale avait sécurisé tous les sites brévannais potentiellement occupables afin d’éviter toute nouvelle intrusion.